La Orestiadi Gibellina, avec Rome au revoir

Pubblicata mercoledì 1 luglio 2015 09:00

Orestiadi Gibellina, pour aller avec « Au revoir Rome »

Coup d'envoi de l'édition XXXIV de Orestiadi Gibellina, promu par la Fondazione Orestiadi, sous la direction artistique de Claudio Collovà.

Ce n'est aucun un hasard si l'édition 2015 commence le 26 juin, la date de naissance de l'inoubliable Ludovico Corrao, le Orestiadi fut le fondateur et Pendant un mois a un programme haut de gamme : avec treize ans à la demande présente, y compris quatre premières nationales.

Le premier spectacle de Orestiadi est prévu, al Baglio Di Stefano. Il s'agit d'au revoir Rome qui est mise en scène première. Édité par Campbell et Francesco La Licata/Fabrizio Lupo et Roberta Barraja ; avec Elisa Bonazzi (mezzo-soprano), Eva Macaggi (soprano), Gaia Mah (soprano), Myles Sahin (basse), Giacomo Serra (baryton), Michela Ciavatti (clarinette), Gabriele Maria Ferrante (violoncelle), Francesca Fierro (piano), Michele Foresi (violon), Angelica Felix (accordéon), Francesco Rocco (guitare électrique), Sa Eugenioprimo (percussions) ; Traitement électronique en direct direction Bernardo. Réalisé par Gianluca Cheli.

Le coût du billet est de 10 euros, tandis que la réduction (plus de 65 ans, moins de 24 et les propriétaires de PMOcard) est de 8 euros. Préventes à Palerme de Modusvivendi, via quintino sella, 79. Pour plus d'information appeler 0924.67844 ou visite www.orestiadi.it.

Produit par le théâtre de QuinteAttive, est un projet du laboratoire ZeroCrediti (Bologne), au Conservatoire g. b. Martini à Bologne, l'Accademia Di Belle Arti Di Palermo, département de Design et arts appliqués, l'Accademia Del Lusso – siège de Ca instituts à Palerme.

Au revoir Rome est la violence de la faim. Une table de convives, nous savons déjà, l'humanité a lutté pour s'asseoir à cette table, qui ont été poussés, inviter, élu, choisi de manger à cette table. Plein de bonnes intentions, ils mangeaient trop. Et il ne reste rien. N'est pas resté de quoi que ce soit, ni pour eux ni pour qui devraient encore manger. Et puis nous avons besoin d'une solution, un remède, une divinité peut donner à chacun l'illusion de pouvoir manger de nouveau. Une grosse vache pour trop pauvre.

Et tout le monde aimera, tout l'amour, tous le glorify. Au revoir Rome est une opération sur la désillusion et besoin nouvelle divinité dans la chair qui sévit dans notre société. Comme motivé par les bons principes et espoirs, nous tombent dans la tentation de façon cyclique Chow au-delà de ce qui est permis. Et oui, satolli et strabordanti, nous prosciugarci, vide corps des âmes errantes désorientés comme à bout de l'enfer. Nous ne sommes pas en mesure d'être nous-mêmes des dieux, notre chemin lumineux du guide et nous faire confiance avec la chaleur et l'enthousiasme, la graisse de porc première qui semble promettre la vie éternelle.

Atelier de Baglio Di Stefano est dans le programme voir intitioata Ludovico Corrao : les identités multiples. Edité par la Fondazione Orestiadi et la Soprintendenza ai Beni Culturali di Trapani – Département régional du patrimoine culturel et l'identité sicilienne. L'entrée est gratuite.